STÉPHANIE JANICOT
Stéphanie Janicot devient journaliste à Bayard Presse en 1992 après des études de droit, Sciences po et le CFJ. En 2004, elle participe à la création du magazine culturel féminin Muze. Elle y anime la rubrique littéraire.
Stéphanie Janicot se fait remarquer dès son premier roman, Les Matriochkas, publié en 1996, encensé par la critique et récompensé par plusieurs prix dont le prix Goya du premier roman, le prix René-Fallet, etc.
Suivent Des profondeurs… (1997), Salam (1999), Ulysse (2000) et Une Traviata (2001) qui clôt le cycle consacré aux illusions de jeunesse et à la recherche d’infini. Elle se concentre alors davantage sur les relations humaines, hommes-femmes en particulier, avec la relation fils-mère dans Non, ma mère n’est pas un problème (2002), la relation de couple dans La Constante de Hubble (2003), et les relations frères-sœurs au sein des familles recomposées dans Cet effrayant besoin de famille (2006).
Stéphanie Janicot a remporté le prix Renaudot Poche 2016 pour La Mémoire du monde : intégrale.
BIBLIOGRAPHIE
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- CHRONIQUES BURLESQUES D’UNE JOURNALISTE
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- CHRONIQUES BURLESQUES D’UNE JOURNALISTE
- Stéphanie Janicot
- BANDES DESSINÉES
- Jazz, de son vrai nom Julia Adélaïde Zoé Ziegler, est pigiste en culture dans un hebdo. Son chef de service, Aaron, a une fâcheuse tendance à lui refiler les sujets dont personne ne veut. Mais qu’à cela ne tienne, Jazz ne manque pas d’ardeur. Des Victoires de la musique au train du livre direction Brive-la-Gaillarde, Jazz ira de [...]
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